GALA DE DANSE D’A.C. MOUV’ART

Encore beaucoup de monde cette année au Palais des Rencontres de Champagne, pour le XIIe gala de danse de l'association thomeryonne A.C. Mouv'Art.

Photos :
P. Songeux

L’association de danse thomeryonne A.C. Mouv’Art, est montée sur la scène du Palais des Rencontres de Champagne-sur-Seine, à l’occasion de son XIIe gala de danse, les 15 et 16 juin 2019.
Pour cette édition, la professeure et chorégraphe Florine Songeux a repris le thème de « La Petite Sirène ». Sur les deux jours, le spectacle a réuni presque 700 spectateurs qui n’ont pas manqué d’applaudir les 190 danseurs en modern’jazz, classique et hip-hop. Spectacle découpé en deux parties de 55 minutes, bien rythmé, les chorégraphies filant les unes derrières les autres, avec musiques et éclairages d’ambiance pour accaparer les spectateurs et les plonger au plus profond de l’histoire.
Les danseuses et danseurs (les plus jeunes ont 4 ans) ont pu faire admirer à leurs proches le travail effectué pendant toute cette année, en gardant avant tout, le plaisir de danser.

Une fin d’année entraîne parfois pour certains, une fin de cycle chez les danseurs et danseuses avec les études supérieures. Nina s’en va pour intégrer une école de danse professionnelle. C’est la deuxième année consécutive qu’un élève de l’association s’oriente vers le professionnalisme pour la plus grande satisfaction de leur professeure et des membres du bureau.

Hormis ce gala de fin d’année, A.C. Mouv’Art participe depuis sa création au Téléthon avec un spectacle dont les recettes sont intégralement reversées à l’AFM-Téléthon. L’association a aussi créée un Festival de danse il y 3 ans, le prochain sera le 21 mars 2020 au Palais des Rencontres de Champagne. Plusieurs compagnies de styles différents sont invités à participer à cet évènement.

Le XIIIe gala de danse de l’association est déjà prévu les 27 et 28 juin 2020 au même endroit.
Vu de l’extérieur, on ne rend pas toujours compte de la construction d’un spectacle, voici un début d’explication...

Florine Songeux :
« Pour monter un spectacle, je pars d'un thème, d'une histoire. Cette année l'histoire de la Petite Sirène. Ensuite, je suis le fil de l'histoire en illustrant chaque étape grâce aux chorégraphies. Il s'agit ensuite de trouver les musiques adéquates. Parfois, en reprenant des musiques au sein des films, du dessin animé, souvent il est intéressant de trouver des reprises sous d'autres formes ou parfois des musiques complètement différentes mais qui seront fidèles au thème de la chorégraphie.
Chaque groupe pendant l'année apprend deux chorégraphies, une dans chaque partie.
Bien sûr les costumes seront là pour agrémenter le thème, sans oublier le plan de feux, tout le travail de la régie lumière qui aide à plonger les spectateurs dans une ambiance particulière.
C'est un travail qui se fait au fur et à mesure de l'année. La trame est montée dès le mois d'août (avant la rentrée), puis nous avons toute l'année pour remplir et enrichir cette trame.
L'idée est qu'au final les spectateurs puissent profiter de voir leurs enfants sur scène, mais en profitant d'un spectacle de qualité agrémenté d'une jolie histoire ».

Retour sur le gala de danse d’A.C. Mouv’Art

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